Ancêtre mythologique de la maison Selhm'wiät, Traczil donna son titre, offert de la part de la mère de l'empire, à ses descendants, celui de "Mort aux cent vies", simplifié alors en retirant la partie morbide du surnom. A noter également qu'il est possiblement l'ancêtre commun rejoignant les Selhm'wiät et les Dor'balan, cette autre famille s'étant illustrée dans une carrière davantage religieuse et dont le nom proviendrait du surnom de "Grand pèlerin". Dans les deux cas, il s'agit d'un dialecte provenant du bourg de Kheym, permettant de localiser géographiquement les origines des deux familles sur l'île de Shari'fal qui se nomment entre eux "cousins".
Les surnoms[]
Les deux surnoms provenaient du métier de l'elfe à l'époque où la mère de la nation venu le voir : un fossoyeur. Connu dans Kheym et ses environs pour être quelqu'un de fort mais naïf, un monstre au grand cœur en quelque sorte, l'homme n'hésitait pas à parcourir des kilomètres pour venir dire une messe ou rassurer les familles des défunts avant d'embarquer les macchabées vers son cimetière. De là venait le surnom de Grand Pèlerin et de là, rappelons l’étymologie du mot : l'étranger inconnu des hommes, mais aussi un expatrié, ce qui soulignerait la théorie selon laquelle il était l'un des hommes sûrs de Freja, mais le sens d'exilé revenait également, sens qui, par le "Grand" dans le surnom soulignerait un certain statut, respectable mais le forçant à se maintenir à l'écart de la société de son époque. Ainsi, en plus d'être un fossoyeur, Traczil agissait également en bourreau, à moins qu'il ait été l'exécuteur, les "gros bras" de la mère de la nation avant de se satisfaire, comme le voudraient les récits, d'une vie plus calme à prier pour les morts et s'assurer que ceux-ci reposeraient correctement, comme pour se racheter.
Le surnom évoquant le nombre de vie de Traczil serait dû au grand nombre de balafres qui recouvraient son corps extrêmement pâle pour un keldorei, expliquant en même temps le pourquoi du surnom original "le Mort aux cents vies". Géant sympathique, il était aussi considéré comme une puissance destructrice, et son courage légendaire lors des conflits l'aurait fait charger dans des situations désespérés où ni son corps, ni son esprit, n'ont été brisés totalement.